Freddy, Pierre et moi partons de Khorog après quelques jours de repos. Avec la montée vers le plateau du Pamir, le plaisir augmente avec l'altitude.
Lire la suiteAprès la route du nord que je viens de suivre, n'importe quel chemin me paraîtrait beau. Surtout si l'Afghanistan se trouve jour après jour de l'autre côté de la rivière, si près et en même temps si loin.
Lire la suitePour rallier Douchanbé, la capitale du Tadjikistan, à Qalai Khumb, la route du nord est la plus directe et la plus scénique. C'est aussi celle qui passera la plus proche de m'achever.
Lire la suiteJ'avais entendu quelques histoires sur la complexité de sortir de l'Ouzbékistan. En plus d'une fouille complète, la moindre infraction peut t'amener en prison. Et comme je dois passer la douane avec au moins trois différentes infractions à l'immigration, je me croise les doigts et je pratique mon meilleur sourire.
Lire la suiteAprès plus de trois semaines à rouler en Ouzbékistan, voici quelques-unes de mes belles rencontres et réflexions sur le pays.
Lire la suiteParfois en pédalant longtemps seul, on se met à avoir des idées. Et à se faire croire que ça va fonctionner.
Lire la suiteTu vois, j'essaie normalement d'être positif quand j'écris. J'ai l'immense chance de vivre cette aventure d'une vie, ce rêve que j'ai préparé pour des années. Mais je ne veux pas vous mentir, des fois, c'est difficile et je me demande ce que je fais.
Lire la suiteGrâce au train, je me suis évité la partie complètement à l'ouest de l'Ouzbékistan. J'en profite pour faire un détour pour frotter des pieds et coucher dans une station-service de luxe.
Lire la suiteAprès ma traversée du désert kazakh, je me pose à Beïnéou, dernière ville avant la frontière ouzbèke. Le désert se poursuit de l'autre côté de la frontière, et s'annonce encore pire que ce que je viens de traverser. Je dois décider si je continue à vélo ou si je prends le train.
Lire la suite"The vast desert and steppe flatlands of Kazakhstan offer little in terms of visual stimulation and should only be attempted by the hardiest and most mentally stable of cyclists." Voilà où je m'apprête à m'enfoncer.
Lire la suiteAprès avoir obtenu mon visa pour le Kazakhstan, je suis prêt à quitter Bakou et à m'embarquer sur un cargo de marchandises qui m'amènera de l'autre côté de la mer Caspienne. Un périple imprévisible d'environ 450 km.
Lire la suiteTout au long du chemin en Azerbaïdjan, Mathieu et moi nous demandions où étaient les femmes dans ce pays. Toutes nos rencontres, tous les gens sur la route, que des hommes. Nous venons de les trouver. Elles sont toutes à Bakou.
Lire la suiteEn attente de visas, je passe une semaine à Bakou, la capitale de l'Azerbaïdjan. Pendant cette pause forcée mais bienvenue, j'en profite pour visiter la ville... et ses ambassades !
Lire la suiteLes Géorgiens nous souhaitent bonne chance pour passer la frontière via une pancarte de route, Mathieu se fait questionner sur son visa et on doit passer plus de barrières et de soldats que pour entrer dans le parc Jurassique. Bienvenue en Azerbaïdjan !
Lire la suiteAprès plusieurs semaines à me dépêcher et à stresser pour arriver à temps pour mon ami Mathieu, je suis enfin à Tbilissi. Je profite de quelques jours de repos, et de fête, avant de reprendre la route à deux.
Lire la suiteLa Géorgie étant unanimement louangée par les cyclistes voyageurs, j'avais de grandes attentes envers elle. Mais outre que c'est un pays de montagnes, je n'y connaissais pas grand-chose. Voici ce que j'y ai découvert.
Lire la suiteAprès mon long périple turc vers l'est, je pique finalement vers le nord pour rejoindre la mer Noire. Voici mes derniers jours en Turquie.
Lire la suiteLe vent de face continue d'être mon compagnon quotidien. À chaque matin, je sors de ma tente en espérant que ce dernier ait changé de bord et souffle maintenant du côté qu'il est supposé, mais c'est peine perdue. Je reprends la route en bataillant ferme pour chaque kilomètre pendant une semaine.
Lire la suiteJe rencontre un cycliste scandinave, des « peut-être » réfugiés et me fais inviter chez un couple en chicane. Entre Ankara et Sivas, je réalise que j'ai encore des croûtes à manger avant d'être embauché par National Geographic.
Lire la suiteLe vent se lève, l'anglais disparaît et les animaux apparaissent. Bienvenue dans la Turquie rurale.
Lire la suite